À quel moment ? 

A jeun, avant les repas autant que possible. C’est alors qu’on est le plus sensible aux odeurs et aux goûts. L’idéal serait donc au petit matin en sortant du lit…

 

Où ?

Dans un endroit agréable pour pouvoir prendre son temps. Pour bien observer il faut de la lumière, si possible naturelle et une petite surface blanche devant laquelle placer son verre de vin. Pour bien humer le vin, le lieu doit être sans odeur et sans vent. (Il est parfois difficile de déguster en extérieur).

 

Avec quoi ?

Un tire-bouchon et des verres incolores propres qui ne sentent rien. Pour s’en assurer on peut d’ailleurs les « aviner », c’est-à-dire les rincer avec un peu du vin qu’on va déguster. Pas de nourriture, ou juste un peu de pain neutre.

 

Seul ou en groupe ?

En groupe pour pouvoir partager ses idées, mais seulement après que chacun puisse avoir eu le temps de s’en faire une. Nous sommes tous influençables et si une personne prétend que le rosé « sent la groseille », il est fort probable que tous la sentiront !

 

Je recrache ?

Si on veut pouvoir être précis après quelques verres, c’est indispensable. De plus, ne pas ingérer le vin ne nuit pas à la dégustation. N’oubliez pas alors de boire de l’eau, car sinon la perte de salive finit par provoquer des céphalées.